Superloustic 2 : la renaissance de la radio des enfants
Posté : jeu. 17 mai 2012 12:21
Voici un article assez complet sur Superloustic 2 paru dans le magazine "Vidéo Broadcast" du mois d'octobre 2003. Merci à Kanedakun pour cette archive !
Après plus de dix ans d'un mutisme qui privait les enfants d'une radio «à eux» et de vrais grands frères et sœurs des ondes, Superloustic renaît. Nouveau logo, nouveaux programmes, nouvelle équipe, nouveaux médias, mais même objectif : être au service des «loustics».
Par Karyn Poupée
Par la volonté de trois hommes qui n'ont rien perdu de leur enthousiasme quasi enfantin, Claude Wargnier, Denys Didelon et Joël Pons, la radio pour enfants Superloustic reprend vie et, avec elle, la bande AM. Ces deux derniers, pères de la première version, ont été convaincus par le premier, emblématique ex-directeur technique du groupe Lagardère officiellement retraité, de redonner de la voix à Superloustic, non sans rajeunir le ton, les programmes, les animateurs, l'équipe, l'outil technique et la couleur musicale et éditoriale de l'antenne, mais toujours avec la même fougue et le même souci «éthique» de qualité et de diversité. « Superloustic est une radio au service des enfant», cette phrase revient comme un refrain dans la bouche des trois «loustics» ce qui signifie, assurent-ils, qu'elle a une éthique à respecter et n'a pas vocation à jouer les véhicules promotionnels de produits en tous genres de tous les annonceurs potentiels.
Au contraire, l'objectif affirmé est d'accompagner les enfants dans leur croissance et d'aviver leur curiosité sur tous les plans « en apportant toujours quelque chose de plus », sous-entendu du contenu réel. Pas question pour autant de créer un ghetto «éduco-culturel» radiophonique faisant abstraction des goûts des «loustics». « Les Lorie, Obispo, Alizée et autres jeunes stars en vue auront leur place sur l'antenne, tout comme Mozart et consorts», répètent à l'envi Denys Didelon et Joël Pons, codirecteurs opérationnels, sous le regard du président Claude Wargnier, dont le rôle est davantage d'impulser et d'accompagner les décisions stratégiques et techniques. Aux côtés de ce trio de fondateurs-dirigeants se constitue une équipe dont la moyenne d'âge ne dépasse pas 30 ans. Parmi eux, beaucoup ont, malgré leur jeunesse, déjà acquis une solide expérience radiophonique, en tant que journaliste, animateur, responsable technique ou autre. C'est le cas de Laurent Mémain, directeur de la plateforme multimédia, que Denys Didelon et Joël Pons décrivent comme un surdoué autodidacte passionné tant par la radio que par les techniques multimédia, perle rare venue de BFM dont Denys Didelon fut directeur d'antenne.
De fait, Superloustic ne sera pas, loin s'en faut, qu'une radio de plus dans le paysage hertzien. Outre le fait que la renaissance de l'exploitation de la bande AM lui doit beaucoup (grâce notamment à l'activisme de Claude Wargnier), Superloustic n'entend pas ce cantonner à ce seul support de diffusion. Et c'est bien ce qui guide la stratégie (partenariats, conception, ligne éditoriale) et les moyens techniques mis en œuvre.
Démarrage échelonné
Superloustic, qui émet en bande AM à titre expérimental depuis le 20 janvier 2003, sur une vaste zone couvrant le Sud-est (de Toulon à Gênes) depuis le site TDF de Monaco (1467 kHz), s'écoute aussi sur Internet (http://www.superloustic.net) grâce au concours de Tv-radio.com. Mais cette diffusion «pirate», non sanctionnée par le CSA, a été suivie d'un lancement officiel avec pro-grammes en direct, d'abord sur la région parisienne depuis un émetteur situé sur la tour Eiffel (999 MHz), dans le respect de la « décision n02003-413 du 22 juillet 2003 autorisant la SARL FWDP à exploiter un service de radiodiffusion sonore par voie hertzienne terrestre en modulation d'amplitude analogique intitulé Superloustic ». Ensuite, après publication au Journal officiel de la décision du CSA correspondante, et en fonction des délais requis par TDF pour l'installation de l'émetteur (Marseille, 675 kHz) dans le sud de la France.
L'une des spécificités de Superloustic, outre le public visé, la ligne éditoriale et le fait qu'elle émettent en AM, réside dans le mode de production, de traitement et d'acheminement des programmes jusqu'aux émetteurs.
Une première technique
Installée dans un immeuble parisien, à quelques rues de ses grandes sœur Europe 1 et RTL, Superloustic partage ses locaux avec Bravo Productions (structure actionnaire de Superloustic, créée par Denys Didelon et Joël). Malgré la relative exiguïté des lieux, deux studios et un CDM (centre de modulation) cohabitent avec les bureaux des équipes techniques et éditoriales (les trois directeurs ont, eux, loué des bureaux en face).
« Le studio de production situé au sous-sol est dédié principalement à la réalisation et à l'habillage des programmes enregistrés (fictions, documentaires, reportages divers...). Le studio d'antenne a, quant à lui, une double vocation:
la réalisation des tranches de direct d'une part (1e matin de 7h à 9h, à l'heure du déjeuner de 12h à 14h et en fin d'après-midi de 16 h à 19 h), et à la production de programmes réalisés dans des conditions de direct mais enregistrés en multipiste numérique pour pouvoir être aisément retraités et peaufinés ultérieurement sur ProTools », explique Laurent Mémain. Pour ce faire, la société a travaillé avec Adeuxl, concepteur et fournisseur de solutions de production, diffusion, archivage numériques qui, bien que faisant peu parler d'elle, peut se
targuer de références majeures dans le secteur (groupe Europe 1, RTL2, Fun Radio...). Schématiquement, l'ensemble se décompose en trois réseaux informatiques liés: un réseau de production ProTools (3 ou 4 postes clients), un réseau «media management» (Adeuxl), et un réseau de diffusion (Adeuxl).
« Notre volonté est d'automatiser un maximum de fonctions logistiques pour nous concentrer sur la créativité et les contenus», assure Laurent Mémain, qui précise que « la création du conducteur d'une journée d'antenne ne requiert que 30 minutes au plus». Sorti du studio de diffusion, le signal, encodé en RealMedia et MPEG-4, est traité au CDM avec un double objectif techniquement osé qui constitue même une première, puisque le même signal «processé» est utilisé pour la diffusion sur Internet en «streaming», mais aussi pour alimenter par le même biais les émetteurs AM via un acheminement au pied de ces derniers par liaison mono 48 kbit/s sécurisée, France Télécom et Cegetel. Défi technique relevé par la société IDT (spécialiste de la conception de processeurs de traitement audio AM, FM et webcast) qui a fourni à la station les équipements requis (un processeur numérique DVP@Net pour le traitement «streaming » en sortie de studio, et un DVP@AM en réception au pied de l'émet-teur pour le traitement ANI subséquent). Un tel système offre donc un coût d’acheminement des programmes très compétitif quand il s'agit d'alimenter un petit nombre d'émetteurs. À l'avenir, il n'est toutefois pas exclu que la station ait recours à un mode d'acheminement plus classique (par satellite) en fonction du nombre de sites d'émission qu'elle espère ajouter à son réseau.
Multimédia, multiréseaux.
En outre, et c'est là le point sur lequel les dirigeants insistent le plus, « Superloustic n 'est pas qu'une radio AM, mais une plateforme de contenus multimédia » qui a pour vocation, à court ou moyen terme, d'alimenter des antennes (en AM analogique, AM numérique - DRM -, en FM, en DAB), ainsi qu'un site Internet (avec toute la panoplie de possibilités «richmedia» potentielles), et à délivrer des contenus sur les mobiles (GSM/GPRS Wap, i-mode, UMTS/Wap 2.0...), ou à l'attention de la presse écrite (publications Bayard Presse) et ce, sous des formes textuelles, visuelles et bien sûr sonores. De fait, l'outil (Adeuxl) est donc prévu pour permettre une gestion rationnelle autant que fonctionnelle de cette diversité de contenus, de supports et de réseaux de distribution. De même, les partenariats sont-ils conclus dans cet objectif: RFI (réseau de correspondants dans le monde), Bayard Jeunesse (presse écrite), la Croix Rouge française, la Fondation pour l'enfance. De surcroît, chacun dans la station devra faire preuve d'une grande polyvalence, Superloustic se refusant à faire une différence entre «gens d'antenne » et «gens des coulisses ». Cela vaut tant pour l'équipe technique (Laurent Mémain, directeur de la plateforme multimédia, Philippe Wargnier, responsable de l'ingénierie, Lionel Lemière, responsable technique, Sébastien Huet, responsable de la production et de la diffusion) que pour l'équipe éditoriale (Anne des Roseaux, rédactrice en chef, animateurs et journalistes...) et la direction tricéphale elle-même. Un seul objectif: être au service des enfants, lesquels ne tardent généralement pas à faire connaître leur point de vue!
CARTE D'IDENTITÉ
Nom:
Superloustic.
Actionnariat:
• FWDP (Fréquence Wargnier Didelon Pons) SARL: 75%.
Jean-Michel Renck (investisseur, non opérationnel): 17%.
•Patrick Fillioud (ex-membre de l'équipe): 5%.
Eléat (société appartenant à Claude et Philippe Wargnier):1 %.
• Bravo Production (société de production créée par Joël Pons et Denys Didelon):1 %.
. Autres: 1 %.
Partenaires:
Bayard Presse, RFI, Croix Rouge française, Fondation de l'enfance...
Genre:
généraliste.
Cible:
enfants de moins de 12 ans (cœur de cible, 7à11 ans).
Programmes:
tous les jours 24h124, tranches de direct (7h/9h, 12h11 4h, 16h11 9h, du lundi au vendredi) avec flashs d'information, invités, musique, chroniques, jeux, reportages, fictions-teuilletons, hit-parades, films longs métrages (diffusion de l'intégralité de bandes sonores), documents.
MOYENS TECHNIQUES
Studio direct / production
. Console Rami RP2000S bac 30 voies, 24 voies numériques (intégration des télécommandes de cartouchier et conducteur Adeuxl).
. Micros Shure SM7.
. Traitement de voix numérique TSL 300.
. 2 CD Sony Rack CDP 11.
. 2 MD Sony MDSE10.
. Apple G4 + Pro-tools 5 + carte Digidesign 888.
. Borne / cartouchier / conducteur Adeuxl V3.
. 2 RNIS.I.
. insert téléphonique numérique 10 lignes / 2 inserts.
Poste de postproduction
. Apple G4 + Pro-tools 5 + carte Digidesign 888
. Console Sony 01V.
. Insert téléphonique 1 ligne
CDM
. Serveur d'éléments 600 Go
. Serveur archives/backup 300 Go
. Traitement de son numérique digital DVP@Net, DVP@AM, dIDT.
. Encodeur WMP TV-Radio.com.
Studio de production
. Apple G4 + Pro-tools 5 + carte Digidesign 888
. Console Sony 01V.
. Micro Neuman
. Borne / cartouchier / conducteur Adeuxl V3.
. insert téléphonique numérique 4 lignes / 2 inserts.
Bureautique
. 16 postes de travail avec Suite Adeuxl Version 3 (numérisation / montage / planification) et outils bureautique.
Après plus de dix ans d'un mutisme qui privait les enfants d'une radio «à eux» et de vrais grands frères et sœurs des ondes, Superloustic renaît. Nouveau logo, nouveaux programmes, nouvelle équipe, nouveaux médias, mais même objectif : être au service des «loustics».
Par Karyn Poupée
Au contraire, l'objectif affirmé est d'accompagner les enfants dans leur croissance et d'aviver leur curiosité sur tous les plans « en apportant toujours quelque chose de plus », sous-entendu du contenu réel. Pas question pour autant de créer un ghetto «éduco-culturel» radiophonique faisant abstraction des goûts des «loustics». « Les Lorie, Obispo, Alizée et autres jeunes stars en vue auront leur place sur l'antenne, tout comme Mozart et consorts», répètent à l'envi Denys Didelon et Joël Pons, codirecteurs opérationnels, sous le regard du président Claude Wargnier, dont le rôle est davantage d'impulser et d'accompagner les décisions stratégiques et techniques. Aux côtés de ce trio de fondateurs-dirigeants se constitue une équipe dont la moyenne d'âge ne dépasse pas 30 ans. Parmi eux, beaucoup ont, malgré leur jeunesse, déjà acquis une solide expérience radiophonique, en tant que journaliste, animateur, responsable technique ou autre. C'est le cas de Laurent Mémain, directeur de la plateforme multimédia, que Denys Didelon et Joël Pons décrivent comme un surdoué autodidacte passionné tant par la radio que par les techniques multimédia, perle rare venue de BFM dont Denys Didelon fut directeur d'antenne.
De fait, Superloustic ne sera pas, loin s'en faut, qu'une radio de plus dans le paysage hertzien. Outre le fait que la renaissance de l'exploitation de la bande AM lui doit beaucoup (grâce notamment à l'activisme de Claude Wargnier), Superloustic n'entend pas ce cantonner à ce seul support de diffusion. Et c'est bien ce qui guide la stratégie (partenariats, conception, ligne éditoriale) et les moyens techniques mis en œuvre.
Démarrage échelonné
Superloustic, qui émet en bande AM à titre expérimental depuis le 20 janvier 2003, sur une vaste zone couvrant le Sud-est (de Toulon à Gênes) depuis le site TDF de Monaco (1467 kHz), s'écoute aussi sur Internet (http://www.superloustic.net) grâce au concours de Tv-radio.com. Mais cette diffusion «pirate», non sanctionnée par le CSA, a été suivie d'un lancement officiel avec pro-grammes en direct, d'abord sur la région parisienne depuis un émetteur situé sur la tour Eiffel (999 MHz), dans le respect de la « décision n02003-413 du 22 juillet 2003 autorisant la SARL FWDP à exploiter un service de radiodiffusion sonore par voie hertzienne terrestre en modulation d'amplitude analogique intitulé Superloustic ». Ensuite, après publication au Journal officiel de la décision du CSA correspondante, et en fonction des délais requis par TDF pour l'installation de l'émetteur (Marseille, 675 kHz) dans le sud de la France.
L'une des spécificités de Superloustic, outre le public visé, la ligne éditoriale et le fait qu'elle émettent en AM, réside dans le mode de production, de traitement et d'acheminement des programmes jusqu'aux émetteurs.
Une première technique
Installée dans un immeuble parisien, à quelques rues de ses grandes sœur Europe 1 et RTL, Superloustic partage ses locaux avec Bravo Productions (structure actionnaire de Superloustic, créée par Denys Didelon et Joël). Malgré la relative exiguïté des lieux, deux studios et un CDM (centre de modulation) cohabitent avec les bureaux des équipes techniques et éditoriales (les trois directeurs ont, eux, loué des bureaux en face).
« Le studio de production situé au sous-sol est dédié principalement à la réalisation et à l'habillage des programmes enregistrés (fictions, documentaires, reportages divers...). Le studio d'antenne a, quant à lui, une double vocation:
la réalisation des tranches de direct d'une part (1e matin de 7h à 9h, à l'heure du déjeuner de 12h à 14h et en fin d'après-midi de 16 h à 19 h), et à la production de programmes réalisés dans des conditions de direct mais enregistrés en multipiste numérique pour pouvoir être aisément retraités et peaufinés ultérieurement sur ProTools », explique Laurent Mémain. Pour ce faire, la société a travaillé avec Adeuxl, concepteur et fournisseur de solutions de production, diffusion, archivage numériques qui, bien que faisant peu parler d'elle, peut se
targuer de références majeures dans le secteur (groupe Europe 1, RTL2, Fun Radio...). Schématiquement, l'ensemble se décompose en trois réseaux informatiques liés: un réseau de production ProTools (3 ou 4 postes clients), un réseau «media management» (Adeuxl), et un réseau de diffusion (Adeuxl).
« Notre volonté est d'automatiser un maximum de fonctions logistiques pour nous concentrer sur la créativité et les contenus», assure Laurent Mémain, qui précise que « la création du conducteur d'une journée d'antenne ne requiert que 30 minutes au plus». Sorti du studio de diffusion, le signal, encodé en RealMedia et MPEG-4, est traité au CDM avec un double objectif techniquement osé qui constitue même une première, puisque le même signal «processé» est utilisé pour la diffusion sur Internet en «streaming», mais aussi pour alimenter par le même biais les émetteurs AM via un acheminement au pied de ces derniers par liaison mono 48 kbit/s sécurisée, France Télécom et Cegetel. Défi technique relevé par la société IDT (spécialiste de la conception de processeurs de traitement audio AM, FM et webcast) qui a fourni à la station les équipements requis (un processeur numérique DVP@Net pour le traitement «streaming » en sortie de studio, et un DVP@AM en réception au pied de l'émet-teur pour le traitement ANI subséquent). Un tel système offre donc un coût d’acheminement des programmes très compétitif quand il s'agit d'alimenter un petit nombre d'émetteurs. À l'avenir, il n'est toutefois pas exclu que la station ait recours à un mode d'acheminement plus classique (par satellite) en fonction du nombre de sites d'émission qu'elle espère ajouter à son réseau.
Multimédia, multiréseaux.
En outre, et c'est là le point sur lequel les dirigeants insistent le plus, « Superloustic n 'est pas qu'une radio AM, mais une plateforme de contenus multimédia » qui a pour vocation, à court ou moyen terme, d'alimenter des antennes (en AM analogique, AM numérique - DRM -, en FM, en DAB), ainsi qu'un site Internet (avec toute la panoplie de possibilités «richmedia» potentielles), et à délivrer des contenus sur les mobiles (GSM/GPRS Wap, i-mode, UMTS/Wap 2.0...), ou à l'attention de la presse écrite (publications Bayard Presse) et ce, sous des formes textuelles, visuelles et bien sûr sonores. De fait, l'outil (Adeuxl) est donc prévu pour permettre une gestion rationnelle autant que fonctionnelle de cette diversité de contenus, de supports et de réseaux de distribution. De même, les partenariats sont-ils conclus dans cet objectif: RFI (réseau de correspondants dans le monde), Bayard Jeunesse (presse écrite), la Croix Rouge française, la Fondation pour l'enfance. De surcroît, chacun dans la station devra faire preuve d'une grande polyvalence, Superloustic se refusant à faire une différence entre «gens d'antenne » et «gens des coulisses ». Cela vaut tant pour l'équipe technique (Laurent Mémain, directeur de la plateforme multimédia, Philippe Wargnier, responsable de l'ingénierie, Lionel Lemière, responsable technique, Sébastien Huet, responsable de la production et de la diffusion) que pour l'équipe éditoriale (Anne des Roseaux, rédactrice en chef, animateurs et journalistes...) et la direction tricéphale elle-même. Un seul objectif: être au service des enfants, lesquels ne tardent généralement pas à faire connaître leur point de vue!
Nom:
Superloustic.
Actionnariat:
• FWDP (Fréquence Wargnier Didelon Pons) SARL: 75%.
Jean-Michel Renck (investisseur, non opérationnel): 17%.
•Patrick Fillioud (ex-membre de l'équipe): 5%.
Eléat (société appartenant à Claude et Philippe Wargnier):1 %.
• Bravo Production (société de production créée par Joël Pons et Denys Didelon):1 %.
. Autres: 1 %.
Partenaires:
Bayard Presse, RFI, Croix Rouge française, Fondation de l'enfance...
Genre:
généraliste.
Cible:
enfants de moins de 12 ans (cœur de cible, 7à11 ans).
Programmes:
tous les jours 24h124, tranches de direct (7h/9h, 12h11 4h, 16h11 9h, du lundi au vendredi) avec flashs d'information, invités, musique, chroniques, jeux, reportages, fictions-teuilletons, hit-parades, films longs métrages (diffusion de l'intégralité de bandes sonores), documents.
MOYENS TECHNIQUES
Studio direct / production
. Console Rami RP2000S bac 30 voies, 24 voies numériques (intégration des télécommandes de cartouchier et conducteur Adeuxl).
. Micros Shure SM7.
. Traitement de voix numérique TSL 300.
. 2 CD Sony Rack CDP 11.
. 2 MD Sony MDSE10.
. Apple G4 + Pro-tools 5 + carte Digidesign 888.
. Borne / cartouchier / conducteur Adeuxl V3.
. 2 RNIS.I.
. insert téléphonique numérique 10 lignes / 2 inserts.
Poste de postproduction
. Apple G4 + Pro-tools 5 + carte Digidesign 888
. Console Sony 01V.
. Insert téléphonique 1 ligne
CDM
. Serveur d'éléments 600 Go
. Serveur archives/backup 300 Go
. Traitement de son numérique digital DVP@Net, DVP@AM, dIDT.
. Encodeur WMP TV-Radio.com.
Studio de production
. Apple G4 + Pro-tools 5 + carte Digidesign 888
. Console Sony 01V.
. Micro Neuman
. Borne / cartouchier / conducteur Adeuxl V3.
. insert téléphonique numérique 4 lignes / 2 inserts.
Bureautique
. 16 postes de travail avec Suite Adeuxl Version 3 (numérisation / montage / planification) et outils bureautique.
